Madame Catherine Guy-Quint (vous la connaissez ?) m'a adressé un mail pour me dire combien elle trouvait que j'étais un garnement, comme le disait si bien Jean-Pierre (était-ce garnement d'ailleurs ? non, plutôt sauvageon, c'est ça ! et c'est lui qui serait JP Garnement, alors tout s'explique !) ayant «une étrange approche du passé politique cournonnais, dénigrant Jean-François Sauvadet». Elle souhaite que je publie dans ce blog ce courrier -je m'étonne qu'elle ne l'ait pas fait directement en commentaire, le blogmaster que je suis,- sans l'être - n'exerce aucune censure, ça doit se voir !? - ça sera bien sûr fait conjointement à ma réponse : on pourra considérer ça comme le premier face à face des municipales de Romagnat… sur internet ! Bien que nous soyons couchés dans le même livre depuis plus de dix ans - il est vrai dos à dos ,elle page 87 moi 88… «à l'auberge du cul tourné» penseront certains qui ne s'étonneront pas ainsi de notre désaccord ! - nous ne nous connaissons pas, tout du moins, ne me reconnait-elle pas quand nous nous croisons !… la dernière fois, à la baie des singes pour un anniversaire il me semble, où le tout Cournon se devait d'être (coucou jacky !) .
Le billet qui ira là devra être considéré comme la suite de celui intitulé Les grandes familles… Ils viendront ensemble à l'écran. En attendant faites un peu mieux connaissance avec nous (cliquez sur les caricatures pour les agrandir ) grâce à Gorce et Lasserre et leur Clermont-tronche publié en 1996… Ne cherchez pas IciMaire, il n'y figure pas… 1996, c'est l'époque où le vieux loup des mers chauves que je semble être, pour un travail plus solitaire se retire progressivement de la chose publique, alors qu'elle, semble s'y accrocher !… qui me rappelera l'année des élections régionales ou la liste du PS, conduite par cette autre Catherine - au grand dam d'une grande partie des siens - pris une raclée mémorable… Alors que déjà «le vainqueur» des suivantes était là bien en piste déjà et déjà un bien meilleur choix !… Alors tout ça, la faute à Jean-François ?… Non, trois fois non comme on le lira dans ma réponse.
Voici donc la lettre de Madama Guy-Quint, elle devrait "libérer", dans la foulée
quelques commentaires, avant que je lui colle au train ma réponse… je m'y emploie sur le champ !
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Monsieur,
Je viens de lire sur votre blog une étrange approche du passé politique cournonais dénigrant Jean-François SAUVADET!
Cette note fait référence au travail que nous avions fait Jean-François SAUVADET, Jean-Louis BERTRAND et quelques militants de gauche à COURNON entre 82 et 89.
Tout d'abord notre aventure commune a commencé dès septembre 82 où nous avions remporté les municipales partielles emmenés par Jean-François SAUVADET.
En mars 83, nous avions perdu les élections municipales. Notre équipe animée par un projet politique municipal global n'avait pu bénéficier de l'appui des "habituels critiques" de l'action de gauche.
Pendant 6 ans, nous avons ensemble, conseillers minoritaires, exercé un véritable contrepouvoir permanent tant dans le contrôle politique que dans l'animation de la ville de COURNON. Et ce travail de démocratie participative a, en effet, permis l'élection de l'équipe que j'emmenais en 89.
Et si Jean-François SAUVADET rappelle que son travail de leader de la gauche à COURNON pendant plusieurs années, a permis la victoire de la liste de gauche et mon élection en tant que maire, il ne fait que rappeler une évidence. Même si peu s'en souviennent, tout simplement parce que la mémoire collective est fragile.
J'espère que vous saurez publier cette information qui m'a permis de me remémorer une époque très heureuse de ma vie politique où les citoyens croyaient ceux qui travaillaient sur la réalité et ne se contentaient pas de suivre des brasseurs de chimères.
C'est d'ailleurs toujours fidèle à nos principes communs d'éthique politique et à notre amitié que je suis sur le comité de soutien de Jean-François.
Catherine GUY-QUINT
maire honoraire de COURNON D'Auvergne
Députée Européenne d'Auvergne (PSE)
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CI-DESSOUS, LA REPONSE DE BERNARD QUINSAT A :
Madame le (la) Maire (sse ) honoraire de COURNON d'Auvergne
et Députée Européenne d'Auvergne (PSE).
…ça existe ça un député européen d'une région ?
…comme un conseiller général l'est du département et non pas de son canton !
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Madame,
Vous n'aurez aucune peine à croire qu'une lettre venant d'une personnalité telle que vous, m'honore en même temps qu'elle donne la mesure de ce modeste blog "parole-libre" même si certains vont jusqu'à dire qu'il présente de l'intérêt voire même qu'il serait nécessaire, voire même encore mieux qu'il exercerait une certaine influence… Vous vous doutez bien que par rapport à cela je reste très mesuré… Mais quand même un courrier de vous ce n'est pas rien, la preuve étant qu'à peine publié il est abondé de nombreux commentaires.
Bien que piètre débatteur, dois-je vous avouer que j'ai failli, avant de croiser le fer avec vous, vous retourner votre copie afin que vous l'affûtiez davantage. Je ne l'ai pas fait, je vais donc me forcer à rester dans la mesure.
Si je ne souhaitait pas que l'affect ne tienne pas dans ma réflexion la place qu'il semble tenir dans la vôtre, et concernant la "bonne mesure" à votre égard, je devrais y être enclin naturellement d'ailleurs, parce que je crois sentir de vous ce que je sais de Jean-François Sauvadet et de son nouvel ami Jean Malacan, à savoir que pour nous quatre notre naissance en fraternité s'est faite dans les pas de ce Palestinien agrafé tout cru, sur deux poutres, un jour, dans la ténèbre d'un Golgotha portant d'un coup toutes les misères du monde, et cette sommation de préparer autant que se préparer, à la "vie nouvelle "… Par contre, je me hâterais toutefois de dire que cette exigence-là n'est pas, pour moi tout du moins, une évidence comme quoi déjà jeune l'on doivent devenir "vieux socialiste", j'entends par là, se réfugier- comme on se retirerait- dans un parti de notables et d'élus qui sont bien souvent les deux, considérant les militants et encore seulement quand ils sont sages, comme de simples sujets d'ornementation. Ceci est su bien sûr de tous et à qui ferait-on croire que le Parti socialiste, et ces différents avatars, ait jamais été un parti populaire comme le fut le PC et les partis gaullistes de la belle époque. Qu'il le devienne peut-être, c'est ce à quoi en tout cas semble s'attacher la nouvelle génération ? Mais est ce bien raisonnable de leur part, est ce nécessaire alors qu'à côté un fond est disponible… D'autant plus, quand on voit les caciques en question, – sérieusement j'ai toujours pensé que ce mot était un synonyme de rassis ! – trouver anormal qu'un secrétaire de section tente de recruter des adhérents on peut s'interroger, mais surtout avoir les preuves de ce que j'avance plus haut… Et de plus, "ils les font adhérer" avec des cotisations à 20 euros, rendez-vous compte: manquerait plus que ça, devenir un parti de fauchés ! Qu'il y ait là-dedans une part stratégie alors la belle affaire, ce n'est pas celle-ci qui a mis ce parti cul par dessus tête : c'est plutôt de prendre les conneries des autres pour une rente de situation, un fonds de commerce… Alors que par ailleurs il était depuis belle lurette complètement démuni de "fonds propres" !
J'ai tort, je le sais, de m'emporter à ce propos et j'exagère de vous reprocher d'être devenus très tôt de "vieux socialistes" car comme vous vous en douter c'est facile, pour moi qui, n'ai jamais couru ce risque et même jeune, je ne le fus pas, évitant à plusieurs reprises le piège ! Pourquoi pas aussi Franc-Mac pour faire éventuellement carrière ?
Du Palestinien j'ai cru apprendre que se tenir debout tout seul était la meilleure position pour regarder l'autre dans les yeux et le cœur, et que d'accepter que l'autre me regarde quand j'étais tombé la meilleure manière de le reconnaître en même temps qu'il me considérait, et tomber et me relever tour à tour avec le Palestinien et l'autre mon horizon quotidien et ultime, que je comprendrais si vous le trouviez étriqué, même si de temps à autre je mets moi aussi la main à la pâte pour reprendre cet autre qui ma foi était sur le point de trébucher… Certes pas assez souvent… je sais!… mais ma vie n'a pas prétention à être exemplaire…
Mais parlons de votre courrier, et d'abord puisque vous semblez être une spécialiste des chimères des autres, je voudrais vous parler de votre chimère à vous, tout du moins celle que vous nous présentez là, à savoir celle concernant l'existence d'une mémoire collective… bien sûr fragile : le collectif pour vous, oui mais, seulement quand ça vous sert ! Vieille recette – ce n'est pas la mienne – qui ne s'use pas, même quand on s'en sert trop, malheureusement ! Autre sujet, à revoir plus tard, mais revenons à cette mémoire collective qui est une illusion pure et simple, la mémoire et un fait individuel – comme le reste dans un premier temps – et la seule chose qui en tienne lieu c'est ce qu'on appelle l'Histoire et votre intervention montrerait une fois de plus la nécessité de rappeler qu'elle est l'affaire des historiens et d'eux seuls et la tentation des politiques, tout du moins de ceux chez lesquels demeurent un vieux fond révisionniste, un petit penchant pour la manipulation, ou encore une petite gourmandise pour ces épisodes peu glorieux que l'on aime tant laisser fondre sous la langue en buvant le café (reprenez donc dans Clermont-Tronche le portrait d'Alain Neri qui justement fait face au vôtre – je n'ai aucune raison de penser que ce soit de là que lui vient son surnom - voir mon billet "les caves se rebiffent" - pour mesurer ce que malgré "la mémoire" on se presse d'oublier : le bois de l'aumône, le fameux SBA, l'unité de tri des ordures de Châteldon…). Il vous souvient d'ailleurs, sûrement - les Historiens sont toujours en alerte - de leur juste fronde face à de récentes tentatives, de droite comme de gauche, de vouloir instrumentaliser l'Histoire d'une certaine manière la reprendre à leur compte!… Mais l'histoire n'est pas en faillite…
Laissez donc tomber côté mémoire, et je vous promets que, de mon côté, je n'abuserai pas de celle qu'on me dit être d'éléphant !… ne pas confondre avec… Toutefois je m'engage pour un peu plus tard à faire modestement œuvre d'historien pour tenter d'y voir un peu plus clair dans ce que vous me racontez et dans lequel, je l'avoue, tout ne m'apparaît pas toujours nettement, alors que par contre je crois incidemment comprendre - je ne dis pas dans ce que vous me dites- des choses comment dire… lumineuses, oui c'est ça lumineuses !.
Ainsi partant de ce concept nouveau pour moi "d'élections municipales partielles" (décès de Joseph Gardet qui ferait, venant s'ajouter à d'autres, obligation à des élections part…? Elections générales ou cooptation à l'intérieur du conseil ?… Voilà où il faudra que je fasse l'historien !) vous laissez sous-entendre que Jean-François Sauvadet fut maire de Cournon (puisque comme vous le dites : derrière lui vous aviez gagné …) et il nous l'aurait jusqu'ici caché ? Nous n'en aurions jamais rien su par ailleurs ! Incroyable mais…! Peu importe pour l'heure, faisons confiance aux commentaires à venir, ce que vous nous décrivez là, mais c'est justement en accéléré la situation actuelle de Romagnat : à Cournon Jean-François gagne en Septembre d'une année et perd en Mars de l'année suivante, à Romagnat ce sont deux ans qui séparent ces deux types de situations et de ces faits vient fatalement la question : comment cet homme, qui a par ailleurs des qualités, peut-il perdre tout son crédit en si peu de temps, dés qu'on le connaît mieux et qu'on le pratique davantage ! Moi cette pratique de cet homme, je considère que je l'ai eu suffisamment et suffisamment sincèrement compte tenu de sa position et de la mienne, pour dire que chez lui c'est un problème de personnalité… L'écoute sans l'échange, d'autres diraient le partage, ce n'est pas l'écoute : sans le retour pas moyen de faire de la musique… pas le moyen de tisser du lien ! Il n'a pas –tout du moins encore pour l'heure la personnalité pour faire un maire. Les idées - on dit aussi je crois les valeurs – sans la personnalité – je veux dire cette disposition psychologique ou du caractère comme on voudra - pour les porter ce ne sont que des mots, une défroque; quand les comportements ne sont pas là ce n'est que du vent diraient certains et alors, comme je l'ai écrit par ailleurs reprenant Edgard Faure, qui tourne de la girouette ou du vent ?… et c'est ainsi que même si les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent et même si l'on adhère a cette grande maxime de Charles Pasqua, ça génère très vite beaucoup de déception et la fois d'après : que n'a-t-on écouté davantage, au lieu de le critiquer, c'est perdu ! Jean-François Kahn attirant très tôt notre attention sur la "vraie personnalité" du jeune marié ! Aujourd'hui plus que jamais tout se passe là : pour le meilleur comme pour le pire d'abord "La Personne", première, entendue selon Emmanuel Mounier à travers le personnalisme communautaire, que je suis sûr que vous connaissez, et qui nous ramène au début de cette réponse… et d'ajouter, que le pire est évitable, c'est même une des fonctions de la Politique à laquelle on se gardera d'éviter un retour à la pensée magique et thaumaturgique !
Revenir avant de conclure sur deux ou trois petit points :
Vous évoquez opportunément- je veux dire par opportunisme – l'idée, pas encore formulée ainsi en 1983 de la "Démocratie participative" qui voisine (je vous invite à relire votre lettre pour mesurer combien j'y ai été attentif) avec celle de "contrôle politique" … Curieux de tout j'aimerais trop que vous me disiez s'il y avait des commissaires politiques et si l'on a envisagé, oui si l'on a envisagé… Oh! ce serait décidément trop fort ! Soyons sérieux, ce rapprochement devrait nous alerter sur les limites de cette pratique qui sans procédures et sans contrat et sans visages peut très vite devenir illusoire voir être utilisé à des fins manipulatrices en vue de contrôler justement comme on flatte… (ce ne fût pas votre cas je le sais !) voire fratricide, certains épisodes de la terreur où tout semblait être entendu pour tous et par tous sont là pour nous alerter aussi… mais là c'est le pire aussi!… le pire n'aurait-il pas de début ?
Encore, et là nous sommes bien au cœur du sujet qui nous préoccupe, malgré l'aile tutélaire de Jean-François, vous perdez en 83 non pas parce que les électeurs n'ont pas voté pour vous, mais encore et toujours à cause d'une histoire de famille…"famille je vous hais (Sartre ? )"! Quel mépris pour l'électeur jugé lambda!… (voir mon billet : une vexation citoyenne ! ) Quant aux autres, lavez encore une fois de plus (écrire :"encore une fois de moins" ?) votre linge sale en famille au lavoir public et tant mieux si ces quelques réflexions puissent aider à servir de savon et de battoir à linge… Mon grand-père celui des Fours à Chaux n'a-t-il pas tenu en son temps un lavoir à Paris, au pied de Montmartre ?
Enfin la chose était perdue ce coup ci en 83, et si le caractère que vous prête Gondeau dans " les tronches" est pour une part justifié, on peut tout de même penser que vous ne fûtes pas tous les jours amène avec le "looser" et que ma foi ceci, pour une toute petite part, mais alors infime, ai pû l'inciter à partir n'est pas totalement invraisemblable… Pourtant comme à toutes fins malheur est bon, ce seraient si je vous comprends bien, les mânes cournonaises de Jean-François qui vous auraient permis le tour d'après de conquérir la Mairie jusqu'en 96 (si je ne m'abuse?) jusqu'à ce qu'une autre grande amitié vous pousse vers ce destin européen qu'on vous connaît… ah! l'amitié… Quoi qu'il en soit, concernant Jean-François, si j'avais dû suivre votre logique et vos arguments j'aurais plutôt penché pour que ce soit son absence qui eut permis votre présence à ce tour là tant la sienne était forte tout le temps ou il fût là ! Vous avez dit bizarre… y aurait-il donc des absences qui auraient pris valeur de créances et que le temps serait venu d'honorer?
L'amitié Madame est chose hautement respectable et c'est en cela que votre soutien à Jean-François Sauvadet me touche et je vous confesserai,même, que je le trouve pathétique, mais c'est en politique Madame qu'en ces temps-ci nous nous aventurons,ons, et qu'à cette aune là c'est à la position de Bernard Pascuito que je mesurerai vraiment le crédit que je dois apporter à vos dires et croyez bien que si lui aussi supporte Jean-François je saurai revoir mon propos… si c'est François Farret qu'il soutient je vous laisserez le soin de conclure vous-même !
Voilà Madame, alors que le badinage n'est pas mon fort, j'espère que vous n'aurez pas ce sentiment désagréable d'avoir tendu cette badine pour… si toutefois c'était le cas, vous vous découvrirez en lisant les commentaires de ce billet, une protectrice, je l'appelle affectueusement "la prisonniére du désert " (voir mon billet portant ce titre ) et je suis sûr qu'elle saura vous proposer, le temps d'un chagrin, la protection d'un pueblo, ces habitations en terre - c'est très écolo - des indiens apaches et mescaleros qui comme, certains mongoles que j'ai rencontré il y a quelques années, devraient pouvoir bénéficier de fonds européens… La prisonnière adore monter des dossiers… européens de préférence ; profitez-en ça devrait pouvoir nous l'occuper un moment et à ce titre là permettez-moi de vous remercier au non de notre communauté.
Veuillez enfin Madame m'excuser, si à l'invitation que vous me fîtes à aller un peu plus avant à la recherche de la vraie nature de Catherine, c'est un peu aussi à ma propre recherche que je me sois livré, afin de me préciser davantage pour moi bien sûr, mais aussi pour les lecteurs de "Parole-Libre" afin de me présenter un peu plus encore, dans ma "vérité ". De ceci je me dois aussi vous remercier .
Pour le reste je vous prie de recevoir Chère Madame, l'expression de ma haute considération comme dit, un peu empoté, l'un des candidats aux municipales à Romagnat .
Bien à vous et peut-être à bientôt .
Bernard Quinsat .
PS : Je crains d'avoir mis à l'eau à la bouche à certains lecteurs de ce blog en évoquant "la présence" de "votre" député, en "votre" compagnie dans "Clermont Tronches"… Aussi comme l'opus est désormais introuvable il me semble nécessaire de mettre à cet endroit sa Tronche de manière à ce qu'elle ne brouille pas plus haut notre délicieux tête à tête.