Le " monde" après Farret …

" Mais la vérité et la liberté sont exigeantes puisqu'elles ont peu d'amants " Albert CAMUS
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Même la Vérité ne supporte pas la violence !

On comprend bien sûr que " l'engagement" est d'abord une question personnelle, voire d'ambition personnelle et que sans elle, le reste plus altruiste ne suit pas . Donc dans une approche " critique " ( au bon sens du terme ) de l'analyse politique cette dimension doit être prise en compte et elle même passée à " la critique " …de la raison pure ! Ce sont les tyrans qui pour y échapper ont inventé l'histoire de " la vie privée " , quand on descend dans l'arêne on ne se dépouille pas de cette peau là pour ne plus être qu'en habit de lumière …d'autant que cette lumière là peut ne servir qu'à éblouir les autres…les sujets, les assujétir !

Donc il y a bien sûr un monde possible après Farret, moins méprisant, plus respirable avec moins l'appel du pouvoir et le moyen de gratifier avec l'argent de la collectivité une " clientéle" sélectionnée en " opposition" à une autre *…pour en retour être reconnu enfin, et enfin aimé ! Y-aurait-il quelque chose à reprocher à ça ? Non pas forcément, si ce n'était la perversité des ressorts qui y conduisent .  Le ressort de ces êtres se tend dans l'esprit de revanche ( quelque chose serait à venger ? ) et c'est la revanche qui est source de la violence renouvellée…avez-vous remarqué le recours incessant pour François Farret au " bouc émissaire " ?  C'est là l'origine de la violence larvée constatée dans la communauté et qui se sera largement exprimée durant cette campagne dans les rapports directes avec les gens qui sommes toutes n' ont rien  à dire sur " l'équipe " mais ont vidé leur sac par rapport au" chef "comme s'il était seul, et seul c'est vrai c'est comme ça qu'il apparait . Est-on aimé quand on est seul après tant de temps passé à avoir cru qu'on faisait le bien ?…le don n'est perçu comme tel que venu d'un être sincère, autrement il apparaît trop intéressé , trop égo-centré …

Relire aussi René Girard et son " bouc émissaire " !

d'animosité que celle qui s'est installée depuis son début de mandat, mais même avant, avec "le sacrifice fondateur " qu'il a perpétré contre son prédécesseur et la section socialiste , tout le reste sur le même mode procédant de ça a suivi  . La critique donc de la personne, l'évocation d'un travers névrotique d'un l'homme souffrant du sentiment de ne pas être aimé ( ses confréres et consœur, les romagnatois et romagnatoise ne répondant pas assez présents à ses services, plus généralement un défaut de reconnaissance…) et alors
Oui  un "monde " après Farret apparait possible, même trés souhaitable, il sera plus ouvert, plus fraternel, réellemment plus généreux …et à tout coup vidé de cette violence dont il est porteur !
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*il y a aussi une jouissance  à se voir "opposé " …le terne découvre par là qu'il ne laisse pas indiférent …un peu comme le pendu au moment - court instant - ou la corde se tend ?