Cet entétement que la petite histoire , semble avoir de reproduire toujours la même connerie !…
Comme si je me baladais dans un bouquin de Stevenson, j'ai trainé en fin de matinée ce samedi dans les deux estaminets où Cap'tain Farret' et l'Amiral Perruche était d' quart. Le risque aurait pû être que ce soit, malgré l'attachement que j'ai à cette œuvre, Voyage avec un âne… et ce fût plutôt : l'île aux trésors plus adaptée sans doute à la circonstance. J'en ai ramené quelques perles à ranger plus tard avec mes bijoux de famille bien sûr et quelques questions à mon égard, presque un peu comme si j'étais candidat, avec peut-être un peu plus d'exigence envers moi qu'envers ceux qui le sont vraiment. Certains penseraient-ils que j'ai plus de réponses? Je n'ose y croire ! Bref on ne peut pas savoir ces choses !
A la question où je vais ?… Je ne peux que répondre : je laboure !… Aurait-on idée de demander à la charrue où va son sillon ?
Mon modeste travail est un travail d'écriture et un travail sur la mémoire, mais pas sur le passé et pour faire plus moderne devrais-je travailler sur l'oubli ? Serais-je donc tant que ça un homme du passé, comme disent pour me rallier les collectionneurs de cartes postales anciennes?… C'est bien évident que non, la suite devrait le prouver si la chose est encore nécessaire !… Car le présent et le futur pourraient-ils naître de rien ? alors d'où viennent-ils ?… Les réponses bien sûr sont déjà contenues dans ces questions mêmes dés lors qu'elles se posent ! Seul Ici-Maire -est-ce une forme de négationnisme ?- voudrait nous faire croire que tout pourrait naître de rien, ou qu'un cycle vertueux viendrait périodiquement blanchir plus blanc que blanc les choses contestables qui furent faites avant, pour ne laisser que les bons côtés des choses; dont il serait, de fraîche date d'ailleurs, bien sûr seul héritier ou presque. Ce cycle vertueux existerait-il d'ailleurs, ce qui n'est pas souhaitable, qu'il profiterait d'abord aux crapules ! L'érosion, y compris celle du grand fleuve du temps et de ses ruisselets compris, n' opère pas ainsi: elle épargne les choses résistantes et parmi elles des bonnes et les moins bonnes ! Et comme les conneries, en plus de se voir davantage, ont la vie particulièrement dure -ce qui va faciliter ma réflexion - c'est à l'une d'elle à laquelle je vais consacrer mon premier billet sur l'urbanisme . Que ceux qui seraient tenter de me croire dans l'amertume -il m'arrive quand même, pour un "amer" de ce type, d'être souvent marrant à ce qu'ils disent, quant à être un véritable Amer alors là ça me flatte !- se détrompent, à part avec mes fournisseurs je n'ai pas à régler de comptes, mais je crois à la nécessité par contre de "faire les comptes" de temps à autre, sinon qu'en serait-il du principe de responsabilité ? Au chapitre "urbanisme " donc, celui que je vais établir à été ouvert dans les années 60… Alors vous conviendrez qu'il n'est que temps de le faire autant avec ceux qui se revendiquent héritiers qu'avec ceux, les plus nombreux, qui veulent changer la gérance ! Et gare pour les héritiers s'ils se trouvent débiteurs!
Niveau zéro de l'urbanisme donc ! Encore et d'abord un point de principe à travers une petite histoire. C'est celle d'un démiurge fou, ou amoureux ou alcoolique, enfin qui n'aurait pas eu la tête à ça et qui malgré tout aurait décidé de faire une créature ("pour la chute des reins ça c'est une trouvaille"… Brassens encore mais on en était pas là !…) il se met d'abord à faire des organes : un cœur, un foie, des poumons, un cerveau (j'suis vraiment une ordure j'ai failli écrire : "que c'est à ce moment qu'il s'aperçoit que c'est un homme ! connard je suis…) des organes génitaux enfin tutti-quanti… jusqu'au moment où il s'aperçoit que tout ça se déssèche!… Alors merde le voilà q'y se dit : j'ai oublié de "pétrir" d'abord tout ce qui doit irriguer ceci si je veux que ça puisse vivre ! Trop tard ? Sauvera-t-on quelques organes se demande cet "organitiens" constatant son erreur.
Et bien il en est de même à Romagnat, à ceci prés que les organicistes n'y voit que dalle et le verraient-ils qu'en chœur ils nous donneraient à entendre le couplet désormais célèbre ; "Responsable mais pas coupable !"
Le développement de Romagnat s'est ainsi fait de manière organique : on a rempli les cases existantes, pour ainsi dire on a "casé" les gens dans les réduits plus ou moins grands de l'ancien parcellaire (cf mon billet " plus près du cœur" : des pavillons à la dérive et des échouages de lotissement…) qu'on a ainsi jamais remis en question (le mettant pour ainsi dire à contr'emploi) pour au préalable créer des voiries qui vont organiser le reste : l'irriguer, lui donner la vie !… Et l'on vit ici depuis des saisons et des saisons des sécheresse sociale endémiques, entendons nous, je veux parler de celle du lien social -dont personne n'a le monopole puisque l'altérité est affaire de chacun- cette nécessité "du vivre ensemble" que ressentent "en manque" tant de Romagnatois reclus, et qu'ils expriment à travers cette plainte de la "ville dortoir", et auxquels nous voudrions contribuer à donner les arguments pour construire ici un avenir différent et les mots pour le dire, le crier même s'il le faut : il faut changer !
J'y arrive ! L'entrée Sud de Romagnat donc présentée comme un des grands chantiers urbanistique du précédent "sexenat" (le prochain c'est promis sera moins sexiste… même s'il doit durer 6 ans !) est en matière d'urbanisme ce qu'il convient de dire, fut-elle engazonée : une merde ! Que la chose soit présentée comme une opération paysagère, encore, mais comme un acte d'urbanisme, je bous ! Ah ce manque de rigueur intellectuelle qui mène au manque de rigueur morale et au déni …qu'on m'excuse de me redire, mais là est le fond du problème avec le déni la remise en cause devient impossible !
Qu'il y ait eu un problème de desserte plus large et un besoin de zone retournement par et pour les bus : j'y adhère et c'est même pourquoi j'affirme d'autant plus fort que, fut-elle éclairée toute l'année comme les Champs en période de fêtes alors que le goulet qui lui succède est dans l'obscurité ; j'affirme donc, que cette merde est une merde et en aucun cas la solution à la situation que j'ai évoqué ci-dessus. Créer un dangereux problème en aval ne peut en aucun cas justifier un aménagement en amont : et si c'est le cas c'est que en plus d'être rendu en queue de ligne on est rendu au niveau zéro de l'urbanisme ! Et parce que la faute étant commise la négligence apporté à ne pas la résoudre -alors qu'une solution et une seule existait et qu'avec insistance je l'ai suggérée… si vous êtes lecteur de mon blog depuis quelque temps, vous pouvez imaginer ce dont il retourne quand je parle d'insistance…- disqualifie complètement celui qui a l'époque était responsable de l'urbanisme à la Mairie et qui est devenu depuis Ici-Maire et explique pour moi en plus de la méthode et du défaut de réflexion "voirie-préalable" comme principe fondateur et organisateur pourquoi le PLU qu'il a mené est contestable, et doit être contesté… faites moi confiance j'y reviendrais !
Pour être précis cette entrée Sud de quoi s'agit-il ? Venant de Opme, passé le dernier grand tournant à gauche (qui eut pu ne plus exister si… je raconterais à ceux qui me demanderons comment des fois certains élus, Mairedalors en l'occurence ont pu manquer de ténacité sinon de courage !) c'est là que l'affaire commence. Profitant de l'existence de deux chemins (dont l'un était devenu route depuis longtemps) qui passaient de part et d'autre d' un ravin (comblé pour l'essentiel depuis longtemps…) on réalisa une patatoïde herbeuse et arborée (l'effet n'en est pas détestable…) de part et d'autre de laquelle folâtraient deux voies, l'un montante et l'autre descendante. En haut et en bas de la délicate figure les deux voies se réunissait - devrais-je écrire s'anastomosaient puisqu'il s'agit de circulation ? – de telle sorte que les bus puissent réaliser là, rendu en bout de ligne le retournement rendu nécessaire et qui jusqu'alors s'effectuait à hauteur de ce que tout le monde ne s'accorde pas à nommer Place fut ce–t-elle François Mitterand !
Qu'advint-il alors ? Eh, bien nonobstant que la dangerosité de la sortie de la rue des fours à chaux fut accrue, rue qui soit dit en passant dessert le centre social – il y avait de l'autre côté le dojo (pour lequel on ne prévu aucune place…) et un peu plus bas la sortie de l'école privée… Mais perdre quelques-uns de ceux ci constitue-t-il réellement une perte ? j'exagère bien sûr un peu mais quand le problème se posa, il fut un peu abordé dans ces termes… baste depuis l'école a fermée elle sera remplacé par des logements sociaux dont la sécurité des futurs habitants ma foi me préoccupe tout autant – quand plus bas deux bus se croisent compte tenu de l'exiguité et du bombé de l'avenue Gergovia dans le goulet aval à la patatoïde, ils doivent le faire au pas et si à ce moment là un passant se trouve sur l'un des trottoirs et pire si c'est un landeau l'un des deux doit s'arrêter… Car semble-t-il à la T2C la tolérance concernant les pertes est inférieure à ce qu'elle fut dans l'armée. Si je l'ai vu ? bien sûr! Si vous voulez je vous montrerais des photos… mieux même au cours d'une de ces balades critiques, à pied à allure citoyenne… que je compte vous proposer en février, je vous le montrerai ! Chiche ?… il serait préférable que ce fut en semaine quand les bus sont plus nombreux !
Ce fiasco m'amena à intervenir auprés d'IciMaire, qui n'était encore qu'"Icilurbanismejecoute" pour évoquer avec lui la seule possibilité de réparer cette situation ainsi créée –et de faire du coup acte d'urbanisme, à savoir se réserver la possibilité de créer une voie descendante qui se serait très naturellement greffée sur la patatoïde en sa partie supérieure et qui eut empruntée le couloir de terrain encore disponible qui partait en direction du centre social qu'il eut contourné et ainsi desenclavé en même temps qu'il le dotait d'un parking important dont il est jusque là dépourvu… et la voie aurait débouchée à hauteur du terrain de boules dans un endroit qui serait totalement remodelé et ou elle aurait très normalement sa place.
Quand on connaît les capacités d'écoute d'"Icilurbanismejécoute" on ne s'étonnera pas que malgré la promesse qu'il m'avait faite… il ne soit jamais venu !
Il y avait pourtant urgence parce qu'une hypothèque pesait sur cette possibilité à savoir que dans le cadre d'un lotissement la parcelle qui ouvrait le couloir de terrain dont je parlai plus haut était promise à construction. Mais qui connaît Cros qui était le lotisseur sait qu'il est très facile de trouver des arrangements avec lui, c'est un type bien qui fait bien son boulot. Je le connais depuis longtemps et je l'ai fréquenté il y a pas si longtemps alors que je ferraillais alentour avec Merdalors… Il me souvient qu'à la fin de l'envoie c'est moi qui l'avait touché après je crois lui avoir fait peur. C'est fou comme ils sont peureux en plus d'être frileux (cf mon billet : "encore la presse ?) vous trouvez ça vous aussi ?!
Quand je dis urgence nous avions quand même plusieurs mois devant nous, pour "futuricimaire" peut-être n'était ce pas assez (je le soupçonne d'être un peu lent cf mon billet " premier grand derby local ") et la maison est aujourd'hui construite et ainsi la dernière possibilité structurante d'une Entrée-Sud à la trappe définitivement, à moins que un jour dans "l'intérêt général" 'l'institution décide là où elle a elle-même péchée de faire un "abus de pouvoir "…
De toute manière il faudra desserrer l'étau de l'entrée sud en faisant malgré tout le contournement du centre social! Pour en convaincre Cap'tain Farret' et/ou L'amiral Perroquet j'ai pris rendez-vous avec eux sur le site. Dans leur position et puis parce que je crois sentir que ce sont tous les deux des mecs droits dans leurs bottes –pour mon histoire il eut été préférable que l'un eut une jambe de bois et l'autre un crochet en guise d'avant bras…èpt'être que si je leur demandait?…) ils viendront et on verra !
Pour illustre un slogan qu'il n'a pas choisi, mais qui eut été celui qui lui aurait le mieux convenu à savoir " la continuité dans la continuité" ou selon les préférences de chacun "la continuité dans la médiocrité" ou pourquoi pas "la médiocrité dans la continuité" les trois me vont… JFS "le pareil" emboîtait donc le pas à la connerie réitérée depuis les années 60/70 alors que tout le champ urbanistique était disponible à savoir :
Greffer sur la route d'Opme à hauteur de ce que j'ai dit, le lieu dit "la rase", une grande voie infrastructurelle qui eut débouchée aux Pérouses voir mieux à hauteur de la croix Saint-Verny… et qui aurait pu se raccorder là le temps venu au contournement (2X2 voies) sud de l'agglo… Et autour de cette voie se serait ordonné les constructions et la voirie secondaire irriguante du lieu : il y a toujours eu les voies qui reliaient pour les déplacements (travail, commerce etc.) et la voirie qui irriguait, elle était dite viscinale : permettant, comme son nom l'indique d'aller chez les voisins… Aaaah!… le lien, toujours le lien !
Cette voie aurait été en quelques sorte, dans sa fonctionnalité le pendant du boulevard du Chauffour. Celui-ci s'est fait pour "accélérer" la circulation, sans l'obliger à traverser le bourg (ceci était aussi nécessaire…) parce que régnait alors dans l'équipe dirigeante une conviction moderniste et archaïque à la fois qu'un centre n'était pas nécessaire –plus possible même– avec une ville si proche et tout fut guidé –oserai-je dire pensé- par cette "dynamique" avale et comme l'aval se transforma et se rapprocha en quelque sorte –dynamisme aubiérois essentiellement sous la conduite d' Hubert Tarrerias après le cataclysmique épisode Digue post-guerre– Romagnat se retrouva non-lieu au milieu de nulle-part, zone indéterminée: un peu tout un peu rien : inominée aussi… Mais ça seul Dieu peut se permettre tenir la position d'être l'Inominé, mais une ville non, Romagnat pas plus qu'une autre !
Alors c'est pourquoi comme on en est tous d'accord j'écris : il faut que ça change!
Je vais conclure… peut-être ?
Mais avant une pensée pour Marie-Odile et son commentaire dans lequel elle dit : "impressionnant!tout aurait pu être différent !"et oui …
Photo : espace disponible en 1965 pour faire de l'urbanisme… à rapprocher des photos du billet "plus près du cœur "…(pour agrandir, cliquer sur la photo)
Sur ce dernier point du "grand virage" non négocié des années 60/70(vous reporter aux photos aériennes dans mon billet "plus près du cœur", pour mieux les voir, cliquer dessus… elles vont grossir, c'est magique !) quand l'état pour le meilleur de l'intérêt général était plus présent et que les routes ainsi dépendaient des Ponts et chaussée devenu après DDE une réservation foncière avait été inscrite au plan ? Circonstance aggravante, pourquoi et par qui fut-elle abandonnée localement ?
Ainsi dans bien des cas le pouvoir ne gagne pas (et les citoyens non plus) à ce qu'il se rapproche du terrain. Là, il y est davantage sous influence, là, le courage peut venir à manquer plus facilement, là les copinages peuvent prospérer et s'installer avec les habitudes au détriment en fait de tous et très vite à l'avantage de personne… et sur ce terreau là, il n'y à que la médiocrité qui prospère…
Je sais que vous me l'avez déjà dit !… Mais s'il faut que je le répète et bien que cela soit dit : faut qu'ça change à la prochaine !
Ceci dit vous l'aurez compris je suis pour l'essentiel un fichu jacobin et si la France avait dû justifier d'une exception c'est celle là qu'à mon avis qu'elle aurait dû la choisir car c'est celle là qui l'a faite… Et moi je crois sincèrement qu'on aurait pu faire l'économie d'une nouvelle féodalité !
Je reviendrais encore trois fois au moins sur ces problèmes d'urbanisme tels que je les entends :
1/concernant le contournement nécessaire du bourg par l'ouest entre la route d'Opme légèrement en amont du dépôt de Jacques Fluck (avec qui je m'honore de partager et l'amour et la connaissance du territoire : salut l'Ami Jacques et si tu as pas internet va lire mon blog chez des voisins qui sont raccordés : c'est la nouvelle forme des veillées ou alors passe à la maison on parlera aussi d'échanges de terrain… ) pour venir jusqu'au rond-point amont du Chauffour, et qui devrait constituer l'axe structurant d'un PLU renégocié !
2/ le systéme irriguant du nouveau centre de Romagnat et ce centre lui-même et de ses greffes sur l'existant.
3/ le nécessaire lobbying pour que la réalisation du boulevard Sud-Ouest de l'Agglo et tout particulièrement de la portion carrefour de Pourliat-Place Henri-Dunant (devant CHU) de manière à mettre en cohérence la sublime réalisation du tramway et son mode d'utilisation avec les parking relais (celui du sud de l'agglo étant justement place Henri Dunant) avec un accès rendu plus difficile par la non réalisation de la portion du Bd Sud-Ouest évoqué plus haut pénalisant entre autre les Romagnatois et participant ainsi dans une moindre mesure au désengorgement automobile de la ville. D'autres raisons existent concernant cette position je les évoquerai donc une autre fois.
Ma conclusion : Beaucoup d'entre vous ont remarqué depuis quelques temps l'existence à Romagnat du balisage par Chamina d'un chemin de St Jacques de Compostelle qui reliait Clermont à Conques en passant par Aurillac. Ce chemin vous pouvez le prendre à Beaumont, vous retrouver à Romagnat prés du cimetière après avoir franchi le col de Chomontel, poursuivre par la rue du Cimetière, prendre la venelle de Licciana-Nardi, puis la rue de Montrognon et après avoir croisé la rue Maréchal-Foch, grimper par la rue du 11 Novembre (dite Grand'rue par les romagnatois…c'est tout sauf innocent !) puis de là rejoindre la route d'Opme au salon des noyers. Ce que je viens de décrire ce n'est pas exactement l'itinéraire balisé, mais c'est la voie ( la voie toujours premiére la voie…qu'on se souvienne ! )- autour de laquelle s"est édifié Romagnat… et c'est pourquoi tous sentent qu'une part de l'identité est là et que tous en ont le souci d'ailleurs !)
Cette voie servit donc son développement mais du même coup en constitua la limite et c'est pourquoi on la déporta à l'est il ya moins d'un siècle (voir la photo de l'en tête du blog et le billet "coiffé sur la ligne"… La route alors n'est qu'un chemin !) et constitue aujourd'hui la partie basse de la route d'Opme qui arrive à la fameuse et "prestigieuse" entrée Sud dont me semble–t-il j'ai parlé assez longuement plus haut ! Une bonne gestion de l'espace eut donc exigé que l'on poursuive ce glissement vers l'est de la voie venant d'Opme comme vue plus haut. Pour ça eut-il encore fallu (ceci ne s'oppose pas ni à la compétence ni à la réflexion… personnelle, bien évidemment !) que l'on ne considère pas que la mémoire est du passé, qu'on l'interroge au contraire, mieux qu'on la garde vivante, active… moderne elle contient toujours, dans ces conditions, une partie des réponses. La maintenir vivante, dansante comme une femme du voyage, torride, c'est pour cela que, modestement et sans le talent qui serait necéssaire à cette tâche, je tiens ce blog et que je conduirais avec l'appui d'une municipalité enfin sorti de l'ornière le projet des Fours à chaux pour qu'il redevienne ce phare qui eut dû s'allumer dans le regard des trop longtemps dirigeants méfiants de cette commune, alors qu'il brille à nouveau et depuis un certain temps dans le regard de tant de nos concitoyens. Cela non plus les dirigeants auxquels je fais allusion n'ont pas su le voir, tout simplement parce qu'ils ne regardaient pas les yeux de leurs administrés, ce qui est encore plus grave ! C'est pourquoi je sens que je vais enfin avoir l'audace d'écrire : Changeons !
Une pensée enfin pour le connard qui voudrait me clouer sur le passé comme les gens de son espèce clouaient les chouettes et les grand ducs sur les portes des granges.
" Je suis d'un autre pays que le tien, d'une autre galaxie, je m'invente des chemins de traverse …" (Léo Ferré ) dis-toi que ces chemins m'ont toujours menés devant, debout… Tu peux pas en avoir une idée d'ailleurs, et il y a belle lurette que tu t'es endormi sur ce blog où tu traquais peut-être la contradiction… Allez continue à pioncer d'ailleurs es-tu jamais réveillé ?
A propos de chouette on clouait aussi des carlines sur les portes, si j'étais sûr que ça permette d'éloigner les cons je le ferais, mieux je serais même la Carline, parce qu'à l'heure la carline ça se referme pour la nuit… pour dormir aussi peut-être… alors je me ferme et j'y vais !…Tiens j'ai les paumes de main qui saignent …
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Bon Dieu! il est même pas minuit , à peine 5 heures qu'il m'aura fallu !… Mais quand même je suis pas rapide !