…comme répondant à un désir, à une espérance !
Bonjour,
Je voulais vous dire combien j'ai été touché par tous ces retours après que j'eus expédié ma newsletter à propos de Parole libre.
Mais qui que vous soyez, j'ai bien dit qui que vous soyez, à moins que vous considériez que je sois infréquentable, je souhaite que vos encouragements, vos critiques, des engueulades aussi qui me seraient destinées vous les inscriviez en commentaires sur le blog lui même, et que vous vous nommiez. Pour ma part je m'engage à ne censurer personne car ma relation à l'autre, quel qu'il soit, est d'abord fraternelle, rude assez souvent, mais toujours fraternelle.
De ce temps qui s'ouvre il faudra bien qu'il reste des traces alors : oser le risque c'est oser la Liberté !
Tenez, pour finir cette histoire qui parle de risque aussi et de liberté et d'honneur et de fraternité, elle vient des Misérables de Victor… brièvement et de mémoire, la voici :
Au premier étage de l'auberge, Grantaire, un peu l'intello de la bande, est bourré comme d'habitude et bien malgré lui, il a roulé dessous la table où personne ainsi n'irait le chercher.
En bas la barricade vit ses derniers instants, ils ne sont plus que quelques uns à demeurer vivant. Pour finir le combat, ils vont se réfugier au premier.
ça mitraille dans l'escalier au point que quand les soldats accèdent eux aussi à l'étage, seul Enjolras le meneur est encore en vie.
Devinant comment ceci allait finir, sans un mot il se dirige vers le mur et fait face aux soldats .
Ceux-ci devant tant de grandeur et de courage hésitent, s'arrêtent, sont peut-être sur le point de renoncer ? …
Tout ce bruit si proche a tiré Grantaire de sa torpeur et alors plutôt que de faire le mort, échappant ainsi à l'éxécution, il s'extirpe de l'endroit où il se trouvait et où personne le voyait, se relève et rejoint Enjolras, et puis calmement et fortement déclare :
"J'en suis"
et ses derniers mots faillirent être couvert par la salve !
J'aime Grantaire d'amour et si j'avais le temps ces jours-ci, j'irai retrouver sa trace dans les "Misérables",
mais c'est un si gros livre et le temps me manque !… quelqu'un voudrait m'aider ?
A vous et encore Merci. BQ.
Bonjour,
Je voulais vous dire combien j'ai été touché par tous ces retours après que j'eus expédié ma newsletter à propos de Parole libre.
Mais qui que vous soyez, j'ai bien dit qui que vous soyez, à moins que vous considériez que je sois infréquentable, je souhaite que vos encouragements, vos critiques, des engueulades aussi qui me seraient destinées vous les inscriviez en commentaires sur le blog lui même, et que vous vous nommiez. Pour ma part je m'engage à ne censurer personne car ma relation à l'autre, quel qu'il soit, est d'abord fraternelle, rude assez souvent, mais toujours fraternelle.
De ce temps qui s'ouvre il faudra bien qu'il reste des traces alors : oser le risque c'est oser la Liberté !
Tenez, pour finir cette histoire qui parle de risque aussi et de liberté et d'honneur et de fraternité, elle vient des Misérables de Victor… brièvement et de mémoire, la voici :
Au premier étage de l'auberge, Grantaire, un peu l'intello de la bande, est bourré comme d'habitude et bien malgré lui, il a roulé dessous la table où personne ainsi n'irait le chercher.
En bas la barricade vit ses derniers instants, ils ne sont plus que quelques uns à demeurer vivant. Pour finir le combat, ils vont se réfugier au premier.
ça mitraille dans l'escalier au point que quand les soldats accèdent eux aussi à l'étage, seul Enjolras le meneur est encore en vie.
Devinant comment ceci allait finir, sans un mot il se dirige vers le mur et fait face aux soldats .
Ceux-ci devant tant de grandeur et de courage hésitent, s'arrêtent, sont peut-être sur le point de renoncer ? …
Tout ce bruit si proche a tiré Grantaire de sa torpeur et alors plutôt que de faire le mort, échappant ainsi à l'éxécution, il s'extirpe de l'endroit où il se trouvait et où personne le voyait, se relève et rejoint Enjolras, et puis calmement et fortement déclare :
"J'en suis"
et ses derniers mots faillirent être couvert par la salve !
J'aime Grantaire d'amour et si j'avais le temps ces jours-ci, j'irai retrouver sa trace dans les "Misérables",
mais c'est un si gros livre et le temps me manque !… quelqu'un voudrait m'aider ?
A vous et encore Merci. BQ.