Un jeune urbaniste -notez qu'un urbaniste est toujours jeune, serait ce que les utopies de cette nature vieillissent mal ** ! - déclarait il y a peu lors d'une réunion publique à Romagnat que le choix de l'urbanisme débouche sur la mise en place d' une ville partagée et négociée . Peu après, au cours de la même réunion, pour répondre à une question posée par un auditeur, qui venait en écho à l'affirmation de l'urbaniste, à propos d'un projet qu'on peut qualifier aujourd'hui de "opération calvaire" François Farret, maire de Romagnat, convint qu'il n'était pas dans ce cas fait appel à un urbaniste car il s'agissait d'une opération simple …d'aucun ont pu comprendre à ce moment donc : "… non partagée et non négocié ! " . Après réfléxion que devons nous entendre par opération simple ? "Opération silencieuse plutôt que totalement secréte" ne suffit pas à qualifier, non il nous semble comprendre que ça s'applique à des opérations se tenant sur une parcelle unique …et de la sorte l'urbaniste est renvoyé à ce qu'avant nous appelions : lotisseur . Piétre perspective , tout du moins pas celle qu'on…………¨îlotage . A plus comme y disent !
** point de vue avançé dans la fable : " Le gratte cul et l'urbaniste " .
2 photos exceptionnelles des années 70 qui "grâce" à leur ancienneté permettent de distinguer avec plus de dépouillement les enjeux et le théatre des opérations simples !!!!