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Dans le dernier Info ci-contre, appelé à la barre du journaliste Jean-Paul Boithias après que celui-ci nous ait rencontré, *François Farret se sent déjà en procès, se sentant touché par des arguments qui portent , il attaque, Il tente de se défendre par un flot bien lisse ( le temps passant, le flot grossi, faut bien qu'il s'adapte il est toujours à la traîne comme ceux qui ont quelque chose à cacher , qui n'ont pas la conscience tranquille …) le flot glisse mais dés qu'il rencontre l'écueil de la réalité, de l'invraisemblance, et bien sûr de la vérité, il s'éventre et livre un détail sensé lui donner de la crédibilité mais ce détail est faux ou n'est fait que de morgue. Deux exemples :
On le sait le transfert des restes humains ne fut que symbolique (voir dernier bulletin municipal) - notez que celui du reste du calvaire aussi : où est la piéta, où est l' enclos ?
…suivre ……

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En évitant les amalgames abusifs mais quand même pour aider à réfléchir, ce petit complément !
(http://p.ribot.free.fr/indexhtm )
Qu’est ce qu’un enclos ?
S’il reflète la fierté des paroisses aisées, l’Enclos paroissial révèle avant tout d’un urbanisme et d’une architecture religieuse du monde et de l’homme. La connaissance de l’âme bretonne passe nécessairement par la connaissance des enclos paroissiaux.

- L’église
- Le calvaire et les tombes
- L’ossuaire, la chapelle reliquaire
- Le porche
- Le mur d’enceinte
- La porte triomphale
L’enclos paroissial sépare le profane du sacré, ne serait ce que par les échaliers qui parent les ouvertures ménagées dans les murs d’enceinte.
L’enclos paroissial s’ouvre généralement par une porte triomphale donnant accès à l’église, au calvaire et à l’ossuaire. Il permet à la vie paroissiale de rester étroitement liée à la communauté des morts puisque l’enclos a le cimetière comme centre. Le muret de pierre qui ceint le tout délimite et protége le territoire sacré.
L’enclos est donc avant tout le domaine symbolique de rencontre entre le monde des vivants et celui des défunts, entre le sacré et le profane. On ne cache pas la mort. Elle n’est pas honteuse, on apprend à vivre avec.
…Doit-on rappeler qu'à Romagnat en 1862 on a pas déplacé l'église ( ce qui explique qu'on ne la retrouve pas Rue de la Treille !!!! mais il est manifeste qu'on y a reconstitué délibèrement et modestement une partie du reste … )mais le cimetiére dont une partie rue de la Treille pour constituer l' ossuaire paroissial puis municipal jusqu'à ce que l'actuelle municipale le détruise et tout étonnée se dise alors qu'il n'y avait pas d'ossuaire avant ça à Romagnat ( cf bulletin municipal ! )…pourtant en 1954 et la découverte d'ossements venu du cimetière " suspendu" dont a parlé Grégoire de Tours , dans les fouilles nécessaires à la mise au tout à l'égoût , ils furent transférés rue de la treille dans l'ossuaire municipale par le croc' Roger Cohade sur ordre de la municipalité d' Arséne Boulay …après, avec la venue des temps barbares si des ossements furent découverts ça et là ou des restes archéologiques on peut faire confiance aux bâtisseurs de tous poils ( y compris institutionnels! ) pour s'en débarasser au plus vite de quelque manière que ce soit ( dixit justement " notre" ossuaire ! ) pour se soustraire ou ruser avec les obligations faites par la loi !